J'avais mon tissus grouuuuu en stock, il m'en restait un bon gros métrage, idéal pour faire la robe et comme le tissus est un peu rigide, sur les conseils de Vanessa, je comptais structurer ma robe avec une petite ceinture rose fluo.
Et puis comme d'habitude, dans l'empressement, je me mesure pas, j'ai l'habitude des patrons de Vanessa.
Oui, mais je n'ai cousu que des hauts. Jamais de jupe, jamais de robe...
Bien évidemment, quand je couds ma robe, je ne l'essaie pas au fur et à mesure puisque je suis convaincue qu'elle sera parfaite.
Je termine les dernières finitions (un exploit d'ailleurs que je ne l'ai pas laissé trainer 132 ans...) et je l'enfile pour m'admirer.
Ah non.
J'essaie de l'enfiler.
Chéri, passe moi la bouteille d'huile d'olive, ça va passer !
Je rentre dedans et là je me regarde : CATASTROPHE.
Je suis donc l'heureuse propriétaire d'une mini mini mini robe ultra moulante.
Je dirais bien que si je me penche, tout le monde pourrait voir la lune mais c'est faux : la robe est tellement moulante (et les coutures tellement prêtes à lâcher) que la robe a l'air d'avoir fusionnée avec ma peau.
Bon, ultra pas possible, de la porter telle quelle mais ça me fait cric de la démonter, après tout, le haut est impec ! Ce ne sont "que" mes hanches qui bloquent.
A partir de là, un petit calcul s'impose :
Et hop, tout va très bien dans le meilleur des mondes ♥
Paie ma gueule de déterrée après 2 jours de fièvre en mode zombie...
Comme vous pouvez le voir, les pinces sont une chouïe trop hautes à la poitrine, je la referai donc en 40 (et + pour mes hanches) mais j'aime bien ce top et l'imprimé du tissus me fait kiffer pourtant peu attirée d'ordinaire par les imprimés animaux !!!
Allez pleins de bisous Grouuuu à tout le monde, je vais terminer mes derniers jours de vacances en cousant Mélilot et en essayant de ne pas rechoper de fièvre d'ici Dimanche, ce serait mignon :)